Label France Toitures à travers « Ma Bio Énergie » est là
pour relever le défi et mettre en œuvre ces matériaux biosourcés !

Un article du quotidien Ouest-France nous parle des matériaux biosourcés dans le domaine du bâtiment. L'intérêt et les enjeux sont énormes et Label France Toitures a bien compris les besoins du marché. C'est pour cela que nous avons créé la marque « Ma Bio Énergie » et décliné toute une gamme de produits pour la rénovation et l'isolation des bâtiments (murs, toitures, combles...)

Ces isolants biosourcés présentent à la fois des performances thermiques comparables aux isolants traditionnels mais aussi des atouts sur le plan environnemental qui est au cœur de l'actualité économique. Pour qu'un isolant biosourcé ou un matériau écologique biosourcé puisse s'appeler comme cela, il doit impérativement avoir une empreinte énergétique (c'est-à-dire l'énergie nécessaire pour le produire) la plus faible possible. Certains de ces matériaux peuvent aussi participer à l'amélioration de la qualité de l'air intérieur et donc être bénéfiques pour la santé de tous.

Comme il est dit dans cet article de Ouest-France, il est difficile de trouver les bons matériaux et surtout de trouver les professionnels pour les mettre en œuvre : nous sommes là pour le faire !

N'hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus...

Extrait de l'article...

Le défi de rénover avec des matériaux biosourcés

Expérimentée depuis deux ans par Brest Métropole, la rénovation des habitations à base de matériaux biosourcés est l’un des éléments d’avenir pour réduire l’impact écologique des constructions. Exemple route de Porz-Al-Lorch, à Plougastel-Daoulas (Finistère).

L’ancienne maison des années 1960, route de Porz-Al-Lorc’h à Plougastel-Daoulas, est réhabilitée à l’aide matériaux biosourcés. | Photo Ouest-France

Au 130, route de Porz-Al-Lorch, à Plougastel-Daoulas (Finistère), se trouve une maison des années 1960. Actuellement en rénovation, elle sert d’expérimentation pour la réhabilitation de bâti ancien à l’aide de matériaux biosourcés fabriqués avec des matières issues du vivant : bois, chanvre, ouate de cellulose…

Un coût et des aides

De 110 m² de surface habitable, la nouvelle maison attendra 225 m² avec une extension de 70 m². L’architecte et maître d’œuvre, Cédric Didat, précise que l’idée directrice a été de déposer une enveloppe, une coque isolante en bois, sur le bâtiment.

La demande était également de modifier l’agencement intérieur en rendant le rez-de-chaussée habitable. Outre cette coque, le bac phytoépuration est constitué de bambous, un assainissement naturel par les plantes, d’un récupérateur des eaux de pluie pour, entre autres, alimenter les sanitaires, de panneaux solaires pour le chauffage et d’une VMC à double flux. Hors achat de la maison, la rénovation et l’extension se chiffrent à environ 218 000 €. Les aides cumulées s’élèvent à 13 150 €.

Un challenge pour les entreprises

Entre le début de l’étude menée par l’architecte et l’obtention des premiers devis, un an s’est écoulé, mais le véritable challenge est de trouver les entreprises compétentes et disponibles », précise Cédric Didat. La construction en matériaux biosourcés est l’avenir de la filière, grande productrice de CO² et dont deux tiers des émissions de CO² viennent de la fabrication des matériaux.

Une maison passive, c’est également un savoir-faire autour de l’isolation thermique et de l’étanchéité à l’air. Un très gros effort de formation est demandé aux entreprises du BTP pour répondre à ces nouveaux besoins.

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Article du mardi 04 Juillet 2023